CONSTRUIRE, CONDUIRE, SORTIR DES BLOCAGES ET RÉUSSIR !
Dossier : Le changement
Troisième partie : Le changement en pratique
Pour en savoir +
Mais qu’est-ce qui peut bien nous faire changer ?
Du besoin aux aspirationsDeuxième partie (deux chapitres) :
Les espoirs, une bonne raison pour développer un projet. Cf. article ISRI : Aspirations du salarié : désirs, espoirs, espérance « […] le désir devient espoir lorsqu’un changement attendu plus important peut être réalisé (satisfait). L’espoir est donc lié à la préoccupation de sortir d’un état vers un nouvel état. [lire la suite…] » «
Guérir de son enfance« , Odile Jacob, 2004
et de
« La bonté humaine. Altruisme, empathie, générosité« , Odile Jacob, 2012 Voir la libraire ISRI
« Reconnaissance : estime de soi«
dans l’article ISRI
« Comprendre le changement personnel : ce qui fait changer »
Par exemple, l’utilisation du ‘feuilletage organisationnel’ pour débusquer les malentendus et les incompréhensions. Voici un article additionnel ISRI présentant un exemple pour comprendre les malentendus :
Lire la suite sur Wikipedia…
Lire, aussi, l’article suivant paru dans la Tribune : Yahoo prépare un grand virage stratégique pour redécoller
Thèse présentée par Thierry SIEBENBORN (2005)Une approche de formalisation du processus de changement dans l’entreprise
Changement ISRI – Tableau des méthodes (Thierry Siebenborn)
![Résumé : Si la nécessité de piloter des changements n’est pas nouvelle pour l'entreprise, ce qui l'est davantage en revanche, c'est l'augmentation quasi-constante ces dernières années de la fréquence avec laquelle ces changements doivent être menés. C’est cet acte de changement, et plus précisément la manière dont il s'opère ou devrait s'opérer, que nous abordons à travers la proposition d’une approche de formalisation d’un processus de changement.Nous listons d’abord les types de structure d’organisation sur lesquels un changement peut s’appliquer ainsi que les méthodes pouvant être utilisées pour opérer ce changement. Après avoir montré l’incompatibilité entre certaines structures et certaines méthodes, nous évoquons l’intérêt pour l’entreprise de disposer d’un processus particulier pour l’aider à gérer, mobiliser et allouer les compétences nécessaires pour réaliser un changement.[...] Nous présentons ensuite notre approche du processus de changement. [...cette dernière] a d’abord consisté à structurer le changement dans le temps à travers l'identification des phases communes à tout type de changement. Nous proposons ensuite une représentation permettant à un pilote de mobiliser dynamiquement les ressources pour absorber les réactions au changement. Nous listons les points particuliers d'un changement où le pilote du processus peut agir en équilibrant/rééquilibrant la manière dont les ressources sont mobilisées. Nous montrons enfin que chaque méthode, ainsi que chaque type de structure d'organisation, induit un couple (structuration dans le temps, mobilisation des ressources). [...] Nous illustrons enfin l'application de cette approche sur le cas d'un changement que nous avons mené dans une entreprise réelle en fonctionnement. Changement ISRI - Tableau méthodes de changement - Thèse Thierry SIEBENBORN](http://www.isrifrance.eu/wp-content/uploads/2013/09/Changement-ISRI-Tableau-méthodes-de-changement-Thèse-Thierry-SIEBENBORN.jpg)
Lire la thèse : « Une approche de formalisation du processus de changement dans l’entreprise »
désirs, espoirs, espérance
Comprendre le changement :
les valeurs, importance et ambivalence
Le salarié dans son entreprise,
un inventeur de manières de faire
Tout est donc une question de PERCEPTION comme nous le précisions déjà plus haut dans cette troisième partie. En fait, nous croyons fermement chez ISRI que l’être humain est ADAPTABLE ! Qu’il est donc capable de CHANGER ! En ce sens, changer serait plus psychologique et culturel que procédural où tout serait rationalisé ! (NB : nous n’adhérons pas à l’idée que l’humain est l’agent du changement car nous pensons qu’il subit les événements plus qu’il ne les régente.)
La mise en œuvre successive et la supervision de ces étapes sont assurées par une équipe transfonctionnelle constituée généralement, voire uniquement, de collaborateurs du niveau hiérarchique le plus élevé, et formée :
-
-
-
-
-
- d’un leader, chef du projet, activant la mise en œuvre des différentes étapes du projet
- d’un responsable du processus sur lequel le changement va s’opérer
- d’une équipe de Reengineering, ayant pour mission de diagnostiquer l’existant et de repenser le ou les processus à reconfigurer
- d’un comité de pilotage, définissant la stratégie des actions menées et pilotant l’avancement du projet
- d’un capitaine du Reengineering, responsable de la création des techniques et des outils de reengineering dans l’entreprise. (11)T. SIEBENBORN, une approche…, ib. p.24.
-
-
-
-
De Quoi s’agit-il ?
Où ?
Quand ?
Combien ?
Pourquoi ?
Seiton : ranger,
Seiso : nettoyer,
Seiketsu : propreté personnelle – ordre,
Shitsuke : discipline – rigueur
En effet, la mise en œuvre d’une telle méthode ne peut se réaliser sans une forme d’accompagnement et l’exercice d’un
Si le lecteur est intéressé par le secret pour devenir un excellent leader, il pourra commencer par prendre connaissance du dossier sur le sujet ici.Ce dossier est composé de trois parties, deux articles additionnels et un test : le test du leadership, conçu pour éclairer objectivement les modes relationnels. C’est un exercice d’auto-évaluation et d’évaluation.
Ce dernier vise les pratiques professionnelles existantes afin de développer, par la réflexion individuelle et collective, une interaction entre tous les acteurs visés par le changement.
Ce type de leadership suscite, en outre, des prises de conscience s’inscrivant dans une action où l’analyse des pratiques doit mener au développement de son propre modèle de pratiques et de ses propres compétences professionnelles pour l’accompagnement du changement.

Quelle que soit l’origine des risques psychosociaux (charge de travail, relations difficiles, conduites addictives, discriminations, harcèlements, etc.), leurs effets sont le plus souvent en lien avec une souffrance émotionnelle, silencieuse ou bien exprimée.
Lire l’article ISRI : « Une voie inexploitée pour prévenir les risques psychosociaux au travail : l’intelligence émotionnelle«
Notes de l`article [ + ]

CONSTRUIRE, CONDUIRE, SORTIR DES BLOCAGES ET RÉUSSIR !



Nous pensons chez ISRI que rien ne résiste aux innovations managériales qui humanisent le changement et, plus largement, qui humanise le travail. Prenons un exemple, celui de Google.
cours des deux premières parties et des articles additionnels de ce dossier sur le changement personnel DANS le changement organisationnel : dépasser les 




Comprendre le changement : les valeurs, importance et ambivalence
Nous envisageons donc un réseau de relations dans les entreprises où les salariés seraient liés par des agirs singuliers interdépendants. En particulier, ceux qui permettent de construire et de transformer leur « être relationnel » au sein de l’organisation (le service, l’équipe…).
Dans la deuxième partie nous nous étions intéressés particulièrement au fait que le phénomène de changement personnel observable peut générer un réseau de questions et questionnements à partir desquels nous pouvons centrer le salarié en interrelation avec et dans l’organisation (le service, l’équipe, le bureau…).
DEUXIÈME PARTIE : CHAPITRE 5 sur 5
Lorsque le salarié s’approprie (s’empare, use) l’espace par une présentation de soi (par exemple : participations, engagements, comportements…) il calcule les rapports de forces en jeux pour s’en servir de base à une gestion de celle-ci dans ses relations. Il joue, il ruse, il détourne la configuration et par là, les jeux, les ruses, les détournements des autres selon, par exemple, un style propre.
Lorsque le salarié exploite (s’empare, use) de la configuration dans une situation relationnelle immédiate, ou lorsqu’il n’a pas le choix, il va chercher soit à tirer profit des forces existantes en leur temps opportun, soit les laisser jouer à son profit par des manières de se présenter, immédiates et circonstancielles. Il saisit ainsi l’occasion selon un art de faire des coups, une tactique qui signifie l’absence de propre (Certeau).
Ainsi que nous venons de le souligner, le salarié trouve des façons de faire, des moyens de déjouer ou de composer avec la configuration pour arriver à ses fins.
Les travaux de
Nous allons traduire pour rendre intelligibles les manières de faire du salarié. Pour nous y aider nous nous réfèrerons aux travaux d’

Ainsi, la relation entre les salariés dans une configuration pourrait être une relation faite de tendances affectives, libidinale.
Tantôt l’identité apparaît comme une image symbolique, tantôt l’image est seulement l’expression réelle de l’identité. A l’identité réelle d’une structure sociale, par exemple, va correspondre l’image réelle (l’accueil, les locaux, les agréments, etc.) ; à l’identité symbolique correspondra l’image symbolique (la crédibilité, le dynamisme, la convivialité, etc.). L’image globale correspondra naturellement à une combinaison complexe et fortement variable, empruntant tour à tour aux deux composantes de l’identité : réelle et symbolique.
B. BIEN CHOISIR SA PSY-DISCIPLINE
Signifier le changement organisationnel conduit inexorablement à signifier la question de la résistance. Celle-ci est généralement perçue négativement par les directions car elles évoquent viscéralement la résistance au changement lorsqu’elles sont confrontées à un échec. Pourtant, l’analyse psychosociologique et notre expérience sur le terrain montrent que les gens ont de bonnes raisons de ne pas vouloir changer.
«
Le cercle de FIUTAK :